En novembre dernier, juste un peu avant l'affaire Cloutier, j'ai témoigner dans le journal local de ma région.
J'ai bien aimé l'expérience, surtout lorsque j'ai apprise que des femmes ont fait des demandes de suivis au CALACS après la lecture du texte. Si ça aider ceratines femmes, j'en suis enchantée.
Donc si quelqu'un au Québec a besoin d'un témoignage d'une victime d'inceste ou de maltraitance physique, je suis toujours partante. Compte-tenu que mon père n'a pas encore été reconnu coupable (en attente du procès), je dois par contre garder l'anonymat sinon, je risque des charge de diffamation.
Lynda